Les princes, petits et grands seigneurs prirent l’habitude d’en revêtir leur cuirasse de cotte de maille lors des tournois. Le combat achevé, ils la restituaient à la dame qui la leur avait offerte, comme un message d’amour ou de soumission si le vainqueur portait la chemise, message de mort, si elle se trouvait maculée de sang de la défaite.
jeudi 18 décembre 2014
Moyen-Age
A partir du Moyen-Âge, la chemise se répand parmi toute la population occidentale. Plébiscitée par le peuple, les rois et les religieux, la camisia est en laine. La chaisne ou chainse, en toile de lin, longue en forme de T, fendue à l’encolure, plissée ou non, est portée ordinairement sur la robe de dessus qui s’appelait «Bliaud».
Les princes, petits et grands seigneurs prirent l’habitude d’en revêtir leur cuirasse de cotte de maille lors des tournois. Le combat achevé, ils la restituaient à la dame qui la leur avait offerte, comme un message d’amour ou de soumission si le vainqueur portait la chemise, message de mort, si elle se trouvait maculée de sang de la défaite.
Les princes, petits et grands seigneurs prirent l’habitude d’en revêtir leur cuirasse de cotte de maille lors des tournois. Le combat achevé, ils la restituaient à la dame qui la leur avait offerte, comme un message d’amour ou de soumission si le vainqueur portait la chemise, message de mort, si elle se trouvait maculée de sang de la défaite.
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